Les Hauts-de-Seine vivent Paris 2024

Deux sites olympiques, six villes traversées par la marathon, le passage de la flamme, quatre sites d’entraînements et quarante-trois centres de préparation, le département des Hauts-de-Seine occupe une place de choix pour les Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024. Labellisé Terre de jeux 2024, il compte en faire profiter les Altoséquanais avant, pendant et après l'événement.

Le 24 juillet, la flamme olympique traversera sept lieux emblématiques  des Hauts-de-Seine. À cette occasion, le Département se mobilise pour offrir une journée exceptionnelle d'animations sportives et culturelles.  De 8h à 21h, les Altoséquanais pourront participer à une multitude d'événements à travers 19 communes, marquant ainsi un moment fort pour le sport et la culture sur le territoire.

Minutieusement conçues pour offrir une expérience inoubliable à tous les Altoséquanais, les animations seront proposées sur chaque étape du parcours. Une occasion unique de s’unir autour des valeurs de l'olympisme et de valoriser les richesses culturelles et sportives du département. Focus sur les sites et domaines départementaux qui accueilleront la flamme olympique. 

♦ 8h > coup d'envoi du relais de la flamme au domaine départemental de Sceaux 

Côté animation, le Département propose de visiter l’exposition « Roues Libres, la grande histoire du vélo » qui retrace l’évolution du vélo et présente de nombreux vélos d’époque. Une exposition photo créée par le Département sera également présente et portera sur le sport et les Jeux olympiques dans les Hauts-de-Seine de 1924 à nos jours.  De 8h30 à 12h30, le public pourra également essayer des vélos anciens grâce à l’association Vélos Délires 30. 

♦ 10h20 > Domaine départemental du Haras de Jardy 
Visite du haras, ateliers de pansages et de soins des animaux, démonstrations équestres, de nombreuses animations de découverte de l’univers équestre sont prévues. Sont st également programmé du saut d’obstacles, un jeu de piste pour découvrir le patrimoine et de l’histoire du Haras de Jardy, propriété du Département. Par ailleurs, les jeunes Altoséquanais participant au dispositif Vacan’Sports, ou scolarisé en IME et classes Ulis seront invités à profiter de cet événement exceptionnel.  
A partir du 27 juillet, une fan zone  “Club Paris 2024” sera installée au Haras de Jardy pour suivre les compétitions d’équitation des Jeux olympiques. 
 

♦ À partir de 11h05, la flamme traversera les villes de Sèvres, Meudon, Boulogne-Billancourt et Issy-les-Moulineaux

Le 24 juillet, deux jours avant la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques et paralympiques, la flamme olympique illuminera les Hauts-de-Seine. Pleinement investi dans la dynamique de cette journée, le Département se prépare à vivre des moments forts d’union collective entre tous les Altoséquanais.

Châtenay-Malabry, Sceaux, Le Plessis-Robinson, Clamart, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Puteaux, Boulogne-Billancourt, Sèvres, Vaucresson, Marnes-la-Coquette, Rueil-Malmaison, Suresnes, Nanterre, Courbevoie, Colombes, La Garenne-Colombes, Asnières-sur-Seine et Gennevilliers… Les Hauts-de-Seine, collectivité hôte des Jeux olympiques et paralympique de 2024, accueilleront la flamme olympique l’avant-veille d’ouverture des Jeux.

Un parcours jalonné d'animations 

Souhaitant partager ce moment exceptionnel de fête avec les Altoséquanais, le Département a investi 180 000 euros pour que les communes et leurs habitants profitent de cet évènement historique. Du parc départemental de Sceaux à Châtenay-Malabry à la Grande Arche de la Défense, un programme d’animations jalonnera le parcours :  accueil en musique, démonstration et initiations à différents sports, visites et expositions au sein des différents lieux culturels, artistiques et patrimoniaux du Département.
Georges Siffredi, Président du Département des Hauts-de-Seine, accueillera le dernier porteur de la flamme sous la Grande Arche de La Défense pour l’allumage de la vasque. Ce moment sera suivi d’une grande soirée avec concert et animations autour de Garden Parvis, sur l’esplanade de La défense, organisée par le Département des Hauts-de-Seine. 

Des lieux emblématiques sous les projecteurs

Cet événement sera aussi l’occasion de mettre sous les projecteurs les lieux emblématiques du territoire qui jalonneront le parcours avec notamment : le port de Gennevilliers, le stade départemental Yves-du-Manoir, le pavillon des Indes britanniques, le Mont-Valérien, le château de Malmaison, le Domaine départemental du Haras de Jardy, le Domaine national de Saint-Cloud, La Seine Musicale, le Parc départemental de l’Île Saint-Germain avec la Tour aux Figures, ainsi que le Domaine départemental de Sceaux où elle prendra son départ.

Les porteurs de la flamme choisis par le Département

Collectivité hôte des Jeux de Paris 2024, le Département a été invité par le comité d’organisation a choisir des porteurs de la flamme olympique : 

• Frédéric Delpla, agent du Département et médaillé d’or par équipes en épée aux Jeux Olympiques de Séoul 1988
• Nathalie Péchalat, médaillée en danse sur glace aux Championnats du Monde, d’Europe et de France 
• Julien Mertine, formé au Cercle d’Escrime de Rueil-Malmaison, et médaillé d’or par équipes au fleuret aux Jeux Olympiques Tokyo 2020
• Olivier Girault, handballeur pro, champion du monde 2001, champion d’Europe 2006 et médaillé d’or olympique lors des Jeux Olympiques Pékin 2008
• Sarah Léonie Cysique, judokate médaillée d’or et d’argent aux Jeux Olympiques Tokyo 2020

Le Département des Hauts-de-Seine accueillera également la flamme paralympique le 27 août 2024 à Saint-Cloud puis à Vaucresson. Un moment important pour le Département qui affirme au quotidien sa volonté de sensibiliser au handicap. Le Département des Hauts-de-Seine. 

Le 24 juillet, la flamme olympique traversera les Hauts-de-Seine. Découvrez en vidéo le portrait des cinq relayeurs choisis par le Département des Hauts-de-Seine pour porter la flamme sur son territoire. Le premier épisode de notre nouvelle mini-série est consacré à Frédéric Delpla.

Engagé dans les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, le département des Hauts-de-Seine a eu le privilège de sélectionner cinq porteurs de la flamme. Parmi eux, Frederic Delpla, champion olympique d’escrime (épée) en 1988 à Séoul et double champion d’Europe. 

« C’est pour moi une très grande fierté ».  Marqué, en tant qu’athlète de la délégation française, par l’arrivée de la flamme dans le stade olympique de Séoul (Corée du Sud) en 1988, Frédéric Delpla se réjouit aujourd’hui de représenter le Département des Hauts-de-Seine le 24 juillet. Choisi pour être l’un des cinq derniers relayeurs de la flamme sur le territoire Altoséquanais, il rappelle combien ce moment symbolique est important pour lui : « Respect et dépassement de soi, ces valeurs olympiques représentent ce que j’ai été et ce que je suis encore aujourd’hui ». Valeurs qui font écho au département des Hauts-de-Seine attaché, dans le cadre de sa politique sportive, à faire du sport un transmetteur auprès des tous les publics et notamment les jeunes. 

À voir en vidéo

Parmi les nombreux relayeurs qui se succèderont le 24 juillet pour porter la flamme, six ont été choisis par le Département des Hauts-de-Seine : 

• Frédéric Delpla, agent du Département et médaillé d’or par équipe en épée aux Jeux olympiques de Séoul en 1988 ;
• Nathalie Péchalat, médaillée en danse sur glace aux championnats du monde, d’Europe et de France ;
• Julien Mertine, formé au Cercle d’escrime de Rueil-Malmaison, et médaillé d’or par équipe au fleuret aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020 ;
• Olivier Girault, handballeur pro, champion du monde 2001, champion d’Europe 2006 et médaillé d’or olympique aux Jeux olympiques de Pékin en 2008 ;
• Sarah-Léonie Cysique, judokate médaillée d’or et d’argent aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020.

Le 5 juin, en présence notamment de Georges Siffredi, président du Département des Hauts-de-Seine, Paris La Défense Arena s’est parée officiellement des cinq anneaux olympiques, le symbole des Jeux.

À 50 jours de la cérémonie d’ouverture de Paris 2024, l’emblème des Jeux olympiques et paralympiques a été dévoilé sur la façade de Paris La Défense Arena, par Christine Caron première femme porte drapeau de la délégation française en 1968 et médaillée d’argent en 100m dos en 1964. Théâtre des épreuves de natation et des phases finales de water-polo du 27 juillet au 3 août, l’enceinte sportive altoséquanaise, est le seul site olympique qui affichera en grand les anneaux bleu, jaune, noir, vert et rouge imaginés par Pierre de Coubertin en 1913.

À l’intérieur, les travaux se poursuivent pour installer les deux bassins de 50 m, dont l'un est destiné à l'échauffement des athlètes.

Pour le cinquième épisode de notre série consacrée aux sportifs Altoséquanais qualifiés pour le Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, on retrouve Laurent Cadot licencié à Boulogne 92, le club d’aviron des Hauts-de-Seine.

« Je me donnerai à 200% devant le public français pour faire le plus beau des résultats possibles ». Qualifié aux Jeux olympiques d’Athènes en 2004 et de Pékin en 2008, Laurent Cadot licencié de Boulogne 92, le club d'aviron des Hauts-de-Seine, rêve d’une médaille aux Jeux paralympiques de Paris 2024. Médaillé de bronze aux championnats d’Europe en 2008 et 2009 puis aux championnats du monde en 2013, le rameur Altoséquanais avait dû se résoudre à prendre sa retraite sportive internationale en 2017 pour raison de santé. Cinq ans plus tard, il reprend le chemin de l’entrainement dans la catégorie para-aviron. L’année de sa reprise, en 2022, il est sacré champion du monde, puis  champion d’Europe en 2023. 

Visionnez notre video

Damien Joly, nageur du stade de Vanves, partage son ambition pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2024. À découvrir dans le troisième épisode de notre série, Mon rêve olympique, consacrée aux sportifs Altoséquanais engagés sur les Jeux de Paris.

"Mon objectif est de me qualifier et ensuite de faire le meilleur résultat possible." Après être passé à côté des Jeux olympiques de Tokyo en 2021 pour quelques secondes, Damien Joly est déterminé à participer à la troisième olympiade de sa carrière. Neuf fois champion de France, médaillé de bronze aux championnats d'Europe et recordman de France du 1 500m nage libre, le pensionnaire du Stade de Vanves ambitionne de briller devant son public : " Les Jeux olympiques à la maison est un rêve. Je veux prendre du plaisir devant le public français."

Le Département des Hauts-de-Seine, engagé dans une politique sportive ambitieuse de soutien aux athlètes de haut niveau, consacre une série de portraits aux sportifs Altoséquanais qui participeront aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024.

Notre reportage video

Inauguré mardi 19 mars, le stade départemental Yves-du-Manoir ouvre un nouveau chapitre de son histoire olympique. Entre inauguration officielle, rencontres de sport scolaire, hommage, matchs de haut niveau de hockey sur gazon et ouverture au public, Retour sur une semaine placée sous le signe de l’olympisme et du sport pour tous.

Une semaine à revivre en vidéo

Coraline Vitalis, épéiste au Levallois SC, partage son ambition pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2024. À découvrir dans le deuxième épisode de notre série, Mon rêve olympique, consacrée aux sportifs Altoséquanais engagés sur les Jeux de Paris.

"Ramener une médaille". Après sa déception lors des Jeux olympiques 2021, Coraline Vitalis ambitionne de faire bien mieux devant son public. Quintuple championne d'Europe, quatre fois par équipes et une fois en individuelle, l'épéiste Altoséquanaise veut aller chercher une médaille olympique, une des seules qui lui manque à son palmarès. "Les Jeux olympiques est la raison pour laquelle on s'entraîne. C'est le moment où notre sport est vraiment mis en avant."

Le Département des Hauts-de-Seine, engagé dans une politique sportive ambitieuse de soutien aux athlètes de haut niveau, consacre une série de portraits aux sportifs Altoséquanais qui participeront aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024.

Découvrez les ambitions de Coraline Vitalis dans notre video

Sarah Léonie Cysique, judokate à l'ACBB, partage son ambition pour les Jeux olympiques et paralympiques de 2024. À découvrir dans le premier épisode de notre série, Mon rêve olympique, consacrée aux sportifs Altoséquanais engagés sur les Jeux de Paris.

« Deux médailles d’or : une en individuel et une par équipe.» Son rêve à elle est en or ! Déjà double médaillée aux dernières olympiades (or par équipe et argent en individuel en -57 kg), à Tokyo en 2021, la jeune Altoséquanaise, ambitionne de faire mieux devant son public. Objectif : deux médailles d’or et une revanche sur Tokyo. « Les JO dans ma carrière est un moment important car c’est le point culminant de quatre ans de préparation.» 

Le Département des Hauts-de-Seine, engagé dans une politique sportive ambitieuse de soutien aux athlètes de haut niveau, consacre une série de portraits aux sportifs Altoséquanais qui participeront aux Jeux olympiques et paralympiques de 2024.

À découvrir en vidéo

À l‘occasion de la Journée olympique, et suite à l’annonce du parcours du relais de la flamme par le Comité d’organisation des jeux, Georges Siffredi, le président du Département des Hauts-de-Seine a dévoilé le 23 juin le nom des 19 villes du Département qui seront traversées par la flamme olympique.

Châtenay-Malabry, Sceaux, Le Plessis-Robinson, Clamart, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Puteaux, Boulogne-Billancourt, Sèvres, Vaucresson, Marnes-la-Coquette, Rueil-Malmaison, Suresnes, Nanterre, Courbevoie, Colombes, La Garenne-Colombes, Asnières-sur-Seine et Gennevilliers… C’est officiel. Les Hauts-de-Seine, collectivité hôte des Jeux olympiques et paralympique de 2024, accueilleront la flamme olympique l’avant-veille d’ouverture des Jeux, soit le 24 juillet. Le Département sélectionnera 6 relayeurs pour cette étape.
« Ce parcours, qui sera à n’en pas douter un beau moment de fête partagée autour du sport et de ses valeurs, deux jours avant la cérémonie officielle d’ouverture, se terminera au pied de l’Arche de la Défense, comme un symbole de l’engagement des 36 villes de tout un Département pour que ces Jeux Olympiques de Paris 2024 profitent à tous les habitants des Hauts-de-Seine», déclarait Georges Siffredi, le 23 juin lors de la Journée olympique.
Ce passage sera l’occasion de mettre sous les projecteurs les lieux emblématiques du territoire qui jalonneront le parcours avec notamment : le port de Gennevilliers, le stade départemental Yves-du-Manoir, le pavillon des Indes britanniques, le Mont Valérien, le château de Malmaison, le Domaine départemental du Haras de Jardy, le Domaine national de Saint-Cloud, La Seine Musicale, le Parc départemental de l’Île Saint-Germain avec la Tour aux Figures, ainsi que le Domaine départemental de Sceaux.
 

À 750 jours de la cérémonie d'ouvetrure des Jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, le département des Hauts-de-Seine lance son webdocumentaire invitant les Altoséquanais à s’immerger dans l’histoire du stade départemental Yves-du-Manoir, site hôte de Paris 2024.

Simple hippodrome au début du 20e siècle, le stade Yves-du-Manoir s’est, au fil des décennies, imposé comme un lieu mythique du sport français. Après avoir accueilli les Jeux olympiques de 1924 il a été le lieu de rendez-vous qui ont marqué l’histoire sportive de notre pays. Plus de 200 grands événements y ont été organisés. 

Située à Colombes, dans le nord du Département, l’enceinte renouera avec l’esprit olympique en août 2024 en recevant les épreuves de hockey sur gazon. Une chance exceptionnelle pour le département des Hauts-de-Seine, propriétaire depuis 2002 et labellisé Terre de Jeux 2024, qui a engagé il y a quelques mois un vaste chantier de rénovation. Après les Jeux, le site deviendra le centre névralgique du hockey sur gazon français. 

Un passé riche d’émotions et de performances
Stade départemental Yves-du Manoir, un stade de légende est un webdocumentaire historique découpé en six volets. Anecdotes, vidéo des Jeux de 1924,photos anciennes, sont d’ores et déjà disponibles les premiers épisodes. 

laissez-vous guider et naviguez à votre rythme

• 24 juillet 2024 >> passage de la flamme olympique dans 19 communes des Hauts-de-Seine (Châtenay-Malabry, Sceaux, Le Plessis-Robinson, Clamart, Issy-les-Moulineaux, Meudon, Puteaux, Boulogne-Billancourt, Sèvres, Vaucresson, Marnes-la-Coquette, Rueil-Malmaison, Suresnes, Nanterre, Courbevoie, Colombes, La Garenne-Colombes, Asnières-sur-Seine et Gennevilliers) ;
• 26 juillet >> cérémonie d’ouverture ;
• 27 juillet au 4 août 2024 >> épreuves de natation à Paris La Défense Arena ;
• 27 juillet au 9 août 2024 >>  épreuves de hockey sur gazon au stade départemental Yves-du-Manoir ;
• 10 août et 11 août >> épreuves masculine et féminine du marathon qui passeront dans six communes des Hauts-de-Seine (Sèvres, Boulogne-Billancourt, Meudon, Chaville, Ville d’Avray et Issy-les-Moulineaux).

En plus d'acceuillir les épreuves de hockey sur gazon, de natation, de water-polo et de para natation, le département des Hauts-de-Seine est estampillé territoire d’entrainement et de pré-compétition de Paris 2024.

Plusieurs équipements sportifs recevront les délégations étrangères pendant leur période d’acclimatation ou pour leurs entraînements en période de compétition.

Deux sites d’entraînement sont situés sur le territoire des Hauts-de-Seine. Ils ont été choisis par le comité d’organisation de Paris 2024 pour accueillir les délégations pour leurs entraînements pendant la quinzaine olympique. Il y en a 415 en France.

• le stade Louis-Boury à Gennevilliers pour le football
• le stade du Parc de Rueil-Malmaison pour les arbitres de football

12 communes altoséquanaises ont vu, après candidature, certaines de leurs installations désignées centres de préparation. Elles accueilleront, avant les Jeux, les délégations étrangères. Pendant la période d’acclimatation des athlètes, des entrainements, stages de préparation y seront organisés.

Il y en a 770 en France.

• 5 à Rueil-Malmaison > judo, tennis de table, handball, tennis, gymnastique artistique, gymnastique rythmique, basket-ball, escrime, football, rugby à 7 ;
• 5 à Issy-les-Moulineaux > escrime, boxe, basket-ball, badminton olympique et paralympique, handball, volley-ball, volley-ball assis, basket fauteuil, judo olympique et paralympique, tennis de table olympique et paralympique ;
• 3 à Boulogne-Billancourt > judo olympique et paralympique, escrime, tennis, tennis fauteuil, rugby à 7, triathlon olympique et paralympique ; 
• 3 à Antony > tennis de table olympique et paralympique, escrime, boxe, athlétisme olympique et paralympique, pentathlon moderne ;
• 3 à Nanterre > breakdance, handball, basket-ball, judo et haltérophilie ;
• 2 à Gennevilliers > goalball, basket fauteuil, football, rugby à 7 ;
• 2 au Plessis-Robinson > rugby à 7, judo,  volley-ball ;
• 2 à Montrouge > tennis, hockey sur gazon ;
• 1 à Bourg-la-Reine > escrime ;
• 1 à Clamart > gymnastique artistique ;
• 1 à Clichy-la-Garenne > basket-ball et basket fauteuil, volley assis et handball ;
• 1 à Colombes > handball ;
• 1 à Villeneuve-la-Garenne > judo.

S’y ajoute le Creps de la région Ile-de-France situé à Chatenay-Malabry > tir à l’arc, taekwondo, judo, basketball, tennis de table, badminton olympique et paralympique, rugby fauteuil, basket fauteuil, handball, volley assis, volleyball, escrime, beach volley, hockey sur gazon.

L’emplacement actuel de l'équipement sportif accueillait déjà des terrains de sport avant les JO de 1924. Mais c'est la construction du stade olympique qui fait vraiment entrer Colombes dans la grande histoire. L'enceinte et son village olympique, le premier de l’histoire des Jeux, sont construits en un an et demi. Le stade devient dès lors l’un des temples du sport français.